Samba Mbenda DIAW condamne les massacres perpétrés par Israël à Gaza

Communiqué de PARADE international sur le massacre des Palestiniens de Gaza par l’État sioniste. 
Dakar, le 18 mars 2025
L’État voyou , soutenu dans sa folie meurtrière et génocidaire, a une fois de plus déversé son venin nauséabond sur les populations sans défense de Gaza. Par des bombardements effrénés, motivés par une haine et une cruauté inouïes, l’entité sioniste exhibe son visage hideux d’État paria.
En rompant unilatéralement le cessez-le-feu péniblement obtenu, Israël se discrédite davantage aux yeux du monde. Mais que vaut la parole d’un sioniste ? Devons-nous encore accorder la moindre confiance à cet État qui se nourrit du sang des martyrs libanais, syriens, palestiniens… ?
Aujourd’hui, Gaza enterre encore ses martyrs, dont une majorité de femmes et d’enfants innocents, sous le regard complice de l’Occident collectif et dans l’indifférence générale des Nations.
La cause palestinienne est-elle reléguée au second plan ?
Tout porte à le croire, d’autant que la quasi-totalité de l’humanité observe Israël dérouler son plan barbare à Gaza : blocage de l’aide humanitaire, affamement et massacres au gré de ses pulsions sanguinaires.
Mais une lueur d’espoir jaillit du Yémen, au moment où les États arabes, africains et sud-américains semblent lassés par cette question. Une nation indomptable a fait de la lutte palestinienne « la question centrale de la nation ». Cette résistance héroïque, incarnée par la Conférence internationale de Sanaa (22-25 mars 2025), offre un viatique essentiel à la solidarité mondiale.
En refusant d’abandonner la Palestine, le Yémen écrit en lettres d’or l’une des plus belles pages de la solidarité entre peuples opprimés. Par ses actions courageuses contre le néocolonialisme et la fragmentation, le peuple yéménite se pose en digne héritier des héros anticoloniaux.
La question palestinienne interpelle la conscience universelle.
Devons-nous rester inertes au 21ᵉ siècle face à ce drame immonde qui se joue quotidiennement sous nos yeux ? C’est une responsabilité morale pour les dirigeants comme pour les peuples. Martin Luther King l’a rappelé dans son fameux discours sur la justice sociale et la lutte contre l’apartheid :
« Ce qui m’effraie, ce n’est pas l’oppression des méchants, c’est l’indifférence des bons. »
Je salue donc l’attitude du Yémen et de ses dirigeants, qui refusent de se taire face à l’injustice. Mes pensées vont aux martyrs de Palestine, du Liban, de Syrie, d’Iran…
Vive le Yémen !
Vive la Palestine éternelle !
Vive les combattants de la liberté !
Samba Mbenda DIAW
Président de PARADE International

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