Le contrôle judiciaire : Une liberté sous conditions

Le leader du parti Pastef les patriotes est sorti du cabinet du juge Samba Sall qui l’a inculpé et placé sous contrôle judiciaire. Même si les charges publiques d’appel à l’insurrection, de troubles à l’ordre public n’ont pas été retenus contre Ousmane Sonko, il n’en demeure pas moins qu’il se voit obligé de respecter les conditions liée à un régime de contrôle judiciaire dont soumis dans le cadre de la plainte pour viols répétées, de la menaces de mort de la demoiselle Adji Sarr

Ousmane Sonko se voit dans l’obligation de remettre son passeport aux autorités, et devra demander l’autorisation du juge s’il souhaite voyager.

Le leader du Pastef devra également se présenter chaque dernier vendredi du mois devant le juge, indique son avocat Joseph Etienne Ndione.

Il devra également se mettre à disposition des enquêteurs, au cas où le juge saisirait la police ou la gendarmerie dans le cadre de l’enquête qui vise l’opposant, précise l’avocat.

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